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fanfic/OS mentalist

26/10/2012 10:49

Fan de Robin et de la série mentalist.

Voila quelque un de mes écrits sur la série et en particulier sur le couple jisbon...

 

OS

un pari pas comme les autres...

Une longue et périlleuse enquête s’achevait aujourd’hui et Cho et Lisbon, qui avait concluent l’affaire, non sans risquer leurs vies, ne daignaient donner de signe de vie.
C’est ainsi qu’après plusieurs appels, retombant systématiquement sur la messagerie de leur patronne, l’équipe se laissa à penser qu’ils les avaient perdus et les larmes affluèrent sur leurs joues.

Jane pensait avoir tout perdu… Perdu sa Lisbon, sa raison de vivre.
Celle avec les plus beaux yeux du monde et à qui les émeraudes allaient si bien
Mais surtout, celle qu’il aimait, car oui, il l’aimait, plus que sa vie, plus que tout ce qui est imaginable.
Elle était partie… à jamais disparue…

Lorsque soudain, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent…

? : « Qu’est-ce que vous avez tous ?
Rigsby : C’est vous Patron ?
Lisbon : qui voulez-vous que ce soit ?
Jane : Lisbon ! »

Il accourut face à elle, à cet instant présent, à part elle, rien n’avait d’importance.

Jane : « Lisbon… répéta-t-il abasourdi
Lisbon : Quelqu’un peut me dire ce qui se passe ici ?!
Jane : pourquoi vous ne répondiez pas à vos appels ?! lui hurla-t-il
Lisbon : je n’avais plus de batterie » murmura-t-elle

Jane eut soudain honte de sa réaction

Jane : « excusez-moi… »

Il posa une main sur sa joue et la caressa quelques secondes avant de la gifler !

Lisbon : « c’était pourquoi ça ?
Jane : j’en avais besoin… »

Elle s’apprêtait à l’engueuler quand leur pari lui revint en mémoire et d’un geste adroit, lui déposa un rapide baiser à la commissure des lèvres. « Le jour où vous arriverez à me gifler sans que je crie, là je vous embrasserais ! » lui avait-elle crié lors de leur dernière dispute. Elle se traita d’idiote en y repensant pendant que Jane souriait de toute ses dents, si elle l’embrassait à chaque pari gagné, il serait capable d’en faire des millions…

 

 

Adieu mes anges, adieu ma vie

Je t’ai menti et j’ai fait de toi la cible de Red-John, A présent par ma faute tu es mortes car tu as été sa proie.
Il faut que je cache:

ma rancœur, mon amertume, ma désillusion pour cet homme qui ton auté la vie.
Heureusement qu’il ne t'a pas touchée,
car je ne m’en serais jamais remis.
Adieu Angela…

J’ai joué les clowns, les médiums, les charlatans.
Un jour Kristina m'a dit que tu n’avais rien senti,
cela réchauche mon petit cœur meurtri.
Adieu Charlotte…

Je suis fou à présent c’est sur,
je suis fou et je le paie.
J’ai tellement pensé à vous que ma vie s’est fini en asile, j’ai tout perdu sauf votre amour.
Adieu mes anges, adieu ma vie

 

 

Toi

Au loin je vois le soleil guorgé de lumière sun ,
pas un seul bruit ne vient déranger la paix de l'endroit.
Le doux clappotie, que fait la mer en s'échouant sur la baie.
La nuit s'annonce être étoilée, la lune commence à monter.
Et le ciel couleur encre semble être apparue par enchantement.
Et moi, moi je l'attend, soudain elle apparait, elle est sublime, sa magnifique robe blanche se balance à chacun de ses pas. Elle me sourie, un sourire angélique au quel je ne me lace pas, ces boucles d'oreilles étincelle. Ces yeux d'un verre étincelant, reflétant les émeraudes que je tenait dans un petit coffret.
Au ver et contre tout notre amour sera plus fort que la mort.
Et John-Lerouge ne pourra que vouloir taper d'avantage en ayant trouver sa prochaine cible, mais maintenant. Nous somme deux, deux âmes solitaire prêt à tout pour que justice soit faite.

Voila la robe:


 

 

 

La fin (spoiler début saison 4)

tenée écouté la chanson en lisant le OS vous allez voire sa vas très bien ensemble Very Happy

 


La lourde porte en métal s'ouvrit, laissant passé un prisonnier au yeux océan, au cheveux blond bouclé et au visage fatigué, fermé...
Il avait crue tué Red-John et pourtant Jane s'était trompé et ce n'était surement pas la dernière fois d'une longue série de problème et de malheur...
Il s'assit en face de la jeune femme et la gratifia d'un immense sourire ces yeux brillèrent et deux fossette apparurent au coin de ses lèvres et quelque larmes se formèrent au coin de ses yeux.
-Bonjour Lisbon
-Bonjour Jane
-Vous avez changé, vous êtes magnifique fit-il en caressant délicatement sa joue. Vous avez était courageuse quand cette balle vous a atteinte vous êtes belle, courageuse, fidèle, fiable vous êtes ma vie, vous êtes .... Lisbon il y a longtemps que je voulais vous dire quelque chose. Et à présent je crois que c'est le bon moment, Lisbon je vous ai...
(elle ne lui laissa pas finir sa phrase) -Vous aussi vous avez changé Jane. Vous êtes devenue un meurtrier, un homme sans coeur, sans rêve, sans chance, sans amour, sans vie tout simplement. Je suis désolé.
La jeune femme quitta la prison les larmes au yeux, ce fut la dernière fois qu'elle vue Patrick Jane.
Et pour cause le lendemain matin les gardiens trouvèrent sur le sol d'une de leur cellule un homme au yeux océan et au cheveux blond bouclé parsemant son visage d'ange, car oui il venait d'atteindre le monde des anges ou du diable le dieu tout puissant aurait t-il pitié de lui...
De ce consultant meurtri par son passé laissant derrière lui une brunette en larme se demendant comment remplacé ses multiples erreurs.
Il laissait derrière lui une lettre, une seule avec inscrit:
 

I love you Teresa
 
 
 
toi (mini-drabble)
 
Les yeux vert, les cheveux brun.
Les yeux bleu, les cheveux blond.

Un couple, un nom.

Une âme solitaire, se dispersant dans l'horizon.
La vue d'une larme, se posant sur tes joues empourprer.
Et je sais qu'il est la, ma raison de vivre.

Le seul pour qui la vie continuera ...
 
 
 
 
mon passé si douloureux
 
Je recevais les coups,
j'entendais les cries.
Les bleus s'accumulaient,
ça m'empêchait de crier.
Alors quand il buvait,
je priais.
Prier au fond de moi et un ange passa.
Il m'enleva, m'arracha,
de se monde l'espace d'un instant, de quelques secondes.
Mon futur consultant, et pourtant il n'était encore qu'un charlatan.
Il m'amena extirper ma rage, crier et pleurer,
en face de l'être aimer,
sur la tombe de ma mère l'endroit ou tout avait commencer.
Et j'y étais encore ...
Cet homme qui m'avait sauver,
qui m'avait aimer.
Un consultant énervant,
un père excellent.
Le père de mon enfant.
Ce petit bout-chou en pleur dans mes bras.
Ses petites larmes salées tombant dans mon décolleté,
mais nous n'en somme plus la,
mes pleurs sont mêles aux siennes.

TL:"Aurevoir Patrick, je te promet que je te vengerai.
John-Lerouge, n'est plus qu'une question de jour.
Nous le retrouverons, et je lui ferai payer son acte, en l'envoyant somnoler,
au côtes du smiley ensanglanté." :rj:
 
 
moi, ma vie
Un liquide couler, :rj:
un couteau dans la plaie,
la vue du sang séché,
une personne armé,
une main guantée.

Le troue noir, :rj:
la fin,
le sacrifice.

Le temps ou le médium Patrick Jane,
à enfin vue le monde tel qu'il est ... :rj:
 
 
 

Ma fic

26/10/2012 10:20

Chapitre 1

Lisbon et son équipe se trouvaient, devant la maison de leur principal suspect (trouvée par Jane évidement). Ils étaient tous placés à des points différents :
Lisbon et Cho étaient devant la porte d’entrée, Rigsby et Vand-Pelt à la porte de derrière et le shérif, et ses hommes, dispersaient dans les quatre coins du jardin. Les officiers de polices attendaient que leur supérieur, mis aux commandes par l’agent spécial Bertram, donne le signal.
Pendant ce temps là. Lisbon réfléchissait :
A sa vie, à ses choix…
Cho : Sauf votre respect patron, nous devrions y aller.
Lisbon : (sortie de sa torpeur) Heu… Oui ! Allons-y ! Tout le monde est prêt ?
Rigsby et Vand-Pelt : Oui patron ! On…
Mais ils, n’eurent pas le temps de finir leur phrase, qu’un coup de feu se fit entendre en troublant le doux silence de l’endroit. La chef des crimes majeurs :
Térésa Lisbone eut comme dernière image, une balle de neuf mm traversent la porte et s’abattant dans son épaule pour laisser passer un long filet de sang, à travers son gilet pare-balle.
Elle se trouvait à présent entre la vie et la mort.


2 semaines plus tard

? : Teresa, Teresa tu m’entends ???
Teresa : mmm…
? : Teresa !
Teresa : ouais…
? : Tu es réveillée ? Tu te sens mieux ?
Teresa : Un peu mieux. (Fit-elle dans un sourire).
? : Je suis content que tu ailles mieux et que tu sois enfin réveillée.
Teresa : Merci Walter…
Lisbon se sentait bien physiquement. Ce n’était plus son cœur qui était brisé. Au départ quand elle s’était réveillée, elle avait été heureuse, puis en voyant le visage de Walter Washburn, Un immense doute avait pris possession de son corps. Il avait commence à lui parler d’elle. Il disait ce souvenir de chose qu’elle n’aurait même pas pu imaginer.
Elle en avait beaucoup appris en ces quelques heures, avec lui. Et quand elle fut seule, Teresa dut se rendre à l’évidence. Elle était fiancée à Walter Mashburm…
Et une bague de dix-huit carats brillait à son doigt. Teresa ne savait pas pourquoi mais aujourd’hui elle aurait tout donné pour voir son consultant et ses gamineries. Il lui manquait tellement…
Au fond c’était Jane et on ne pouvait pas se passer de lui. A cet instant quelqu ‘un toqua à la porte, et un homme apparu dans l’encadrement de la porte, jusqu’à avancer vers elle…

 

 

[A cet instant quelqu ‘un toqua à la porte, et un homme apparut dans l’encadrement de la porte, jusqu’à avancer vers elle…]
Teresa : Cho ! Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de te revoir. Explique-moi ce qu’il se passe. Je ne comprends plus rien du tout (supplia la belle brunette).
Cho : Vous ne vous souvenez pas de quoi patron (fit Cho un sourcil relevé).
Teresa : Et bien de tout ! (fit-elle en s’énervant) Et puis qu’est-ce que c’est que cette histoire avec Mashburm.
Cho : Vous ne vous souvenez de rien ?
Teresa : Non… (fit-elle d’un air désolé)
Cho : Et bien… C’est compliqué…
Teresa : Allez-y, je ne sors de l’hôpital que demain.
Cho : Depuis quelques temps vous veniez au CBI en jupe quand il n’y avait pas d’enquête, vous souriez tout le temps, vous mettiez une surdose de parfum, vous arriviez au bureau à des heures normales (et non plus avec trente minutes d’avance) et vous repartiez en même temps que nous.
Teresa : Pourquoi ? (interrogea la jeune femme)
Cho : Jane a supposé que vous étiez amoureuse et… (Kimbal hésita à continuer)
Teresa : Et… (L’encouragea Teresa)
Cho : Et… (Reprit l’agent) il avait raison comme toujours. Quelques jours plus tard, vous êtes arrivée au CBI avec cette bague (il désigna l’anneau doré au doigt de sa patronne) et vous nous avez présenté votre fiancé. Jane ne supportait plus de vous voir tous les matins arriver en Ferrari en embrassant le milliardaire avant votre journée de boulot, il vous a prévenue qu’il quitterait le CBI si vous n’arrêtiez pas cette relation. Mais… Vous l’avez envoyé balader et, Jane a quitté le CBI depuis 2 ans maintenant et on n’a aucune nouvelle de lui depuis.
Teresa : Ce n’est pas possible, vous vous moquez de moi.
Cho : Je suis désolé patron. Les médecins ont dit que vous étiez fatiguée et que vous deviez vous reposer, alors je vais vous laisser. Au revoir Patron (fit-il dans un triste sourire).
Teresa : Au revoir Cho. (Mais les mots moururent sur ces lèvres comme les pétales d’une fleur).
Cho venait de sans aller et Teresa pleura toutes les larmes de son corps. Ce n’était pas vrai, ce n’était pas possible. Jamais elle n’aurait fait ça, mais elle dût se rendre à l’évidence. Ca ne pouvait qu’être vrai.
Le lendemain matin:
Teresa avait passé toute la nuit à pleurer et à penser à son consultant, et même les tranquillisants n’avaient aucun effet durable sur elle.
Un homme brun, proche de la quarantaine au costume sombre et chic, passa les portes de l’hôpital, un bouquet de roses rouge et de lys blanc en main. Montrant qu’il devait être plein aux as, il se dirigea vers la chambre de sa fiancée. En arrivant il la découvrit les yeux fermés comme si elle dormait, mais en la voyant d’un peu plus près il vit qu’elle était réveillée. Par respect pour la jeune femme, il tapa trois petits coups à la porte avant d’entrer un immense sourire aux lèvres.
Lisbon ouvrit les yeux d’un seul coup et vit Walter qui la gratifier d’un grand sourire.
Walter : Bonjour Teresa, çà va ma chérie ? (Chantonna t-il)
Teresa : Bonjour Walter (fit-elle dans un sourire, mais le cœur n’y était pas)
Walter : Ecoute fit-il ennuyé, j’ai quelque chose à te dire et ça parle de ton consultant, enfin… Ton ex consultant… Bref ça concerne Jane, il…

 

 

Chapitre 3
Il est mort. Cette simple phrase, ces quelques mots étaient imprimés dans l’esprit de Lisbon. Jane était mort et elle n'y pouvait rien. Elle ne pouvait pas changer le passé et encore moins le présent. Des souvenirs de son consultant passèrent devant ses yeux à vitesse grand V.
FLASH-BACK (les souvenirs dans la vidéo Very Happy )
Jamais je n’avouerai
FIN DU FLASH-BACK
Lisbon avait été ramenée chez-elle par Walter de l’hôpital. Mais elle avait refusé que celui-ci entre avec elle dans son appartement.

Du côté de Lisbon
En rentrant chez-moi, la première chose que je vis fut une photo… De Jane.
En pensant à lui, ma vue se brouilla et je fondis en larmes dans un coin de mon canapé. Personne pour me dire quoi faire, personne pour m’aider, personne pour me juger. Alors j’ai été dans l’obligation de me trouver une amie, une seule… La téquila.
Quand Bosco est mort, elle a été ma seule amie mais Jane m’avait aidée à m'en séparer, et à présent pour Jane, il n'y avait qu’elle. Cette simple bouteille.
Lisbon était à moitié saoule et étalée sur son canapé. Lorsqu’elle entendit son portable sonner, et vu qu’elle était encore assez consciente pour répondre, elle décrocha.
Lisbone : allo ? (fit-elle sans regarder le nom de l’appelant)
?: Bonjour, c’est… Moi, Jane. (Fit la voie inconnue)
Lisbon : …
Peut-être que la vie n’était pas si cruelle après tout.

Ce fut la dernière pensée que la jeune femme eue avant de tomber à nouveau dans l’inconscience.
Du côté de Jane

Jane : Lisbon, Lisbon, Lisbon (j’hurlai mais aucune réponse à part mon écho ne monta à mes oreilles. La dernière chose que j’ai entendu fut le détonateur d’une arme à travers mon portable.)
?: Ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, (fit une voie grave)
Jane : allo ?
?: Elle est partie Patrick, elle est partie tout comme ta magnifique femme et ta charmante petite fille. Elle t'a quitté tout comme elles. (Fit la voie)
Mes lèvres tremblèrent et mes épaules furent secouées par les sanglots, je me laissai tomber sur une chaise, tout était terminé… John-Lerouge avait fini son travail. Le dernier smiley venait d’être dessiné, la dernière femme qu’il était prêt à aimer, avait disparue.

 

 

Chapitre 4
Jane était en larmes, abattu il avait enfin consenti à lui parler et elle était…
Elle était morte. Tué par ce monstre sans cœur tout comme sa femme, sa fille et Kristina qui elle n’avait était que blessée. Jane tout d’un coup pensa à quelque chose, le corps de Lisbon aller être sur la table à son tour comme lui avait dit son ami le docteur Stayneur et il ne lui souhaitait pas ça, pas à elle. Il fallait qu’il la sauve de ça, de ça au moins déjà qu’il n’avait pu la sauver de, de lui. Il prit sa veste, sécha ses larmes et se dirigea chez Lisbon sans se douter un seul instant de ce qu’il allait y trouver...

Chez Lisbon :
(du côté de Jane)
J’étais entré sans frappé, de toute manière elle ne m’aurait pas répondu elle était… Bref. Je gravis un à un les escaliers mais je m’arrêtai devant la chambre de la jeune femme. Il fallait que j'y aille, quoi qu’il arrive je n’avais point le choix j’ouvris la porte et apperçu d’abord de longues mèches brunes s’échappa d’un chignon fait à la vas-vite, en m’approchant je vis ses yeux bordés de cil et ses pupilles injectés de sang et… Son corps inerte reposant sur le matelas blanc neige tacheté de rouge. Derrière moi une voie haute perchée d’adolescente se fit entendre
?: Bonsoir Patrick
Jane : A-Annie
Annie Lisbon (fille de Thomas Lisbon) : Oui, c’est moi. Bienvenue. L’adolescente avait son sweat noir couvert de sang et un couteau sanguinolant dans la main gauche, pas besoin d’être médium pour savoir à quoi il a servi, et qui sera sa prochaine victime, après tout il l’avait surpris.
Jane : Ton père n’est pas là ? (fit-il pour retarder le moment ou lui-même aurait l’immense honneur de toucher cette lame qui servait à égorger chacune des victimes du tueur en série le plus connu de Californie).
Annie : ça te regarde ?!?
Jane : Simple question. (fit-il en souriant)
Annie : Simples réponses (fit l'adolescente agacée)
Et avant que l’un d'eux ne puisse rétorquer quoi que se soi, un bruit de pas se fit entendre derrière eux.
Annie : le maître tout-puissant lui chuchota-t-elle, le roi des serial-killers…
Jane : John-Lerouge
Le moment tant attendue, la confrontation finale. Ou presque…
à suivre.... Arrow (si vous aimez toujours)

 

 

 


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